Y a t'il un métier rêvé quand on est HP, surdoué ou zèbre ? Vous avez découvert que vous étiez haut potentiel et cette information explique tellement de choses sur votre fonctionnement ! Alors, avec un peu de chance, cela pourrait aussi être le sésame pour découvrir pour quoi vous êtes fait.e ?
Est-ce qu'être HP donne aussi des indices, des penchants pour certains métiers plus que d'autres ?
Réponse de Normand : peut-être bien que oui, peut-être bien que non (pardon, ce sont mes racines qui parlent 😅).
Je me suis posée longuement cette question quand j'ai découvert ma douance, il y'a 4 ans. Cette question allait et revenait depuis mon diplome d'ingénieur. Et, je sentais, de plus en plus fort, cette sensation que je n'étais pas à ma place dans mon travail.
J'espèrais, je crois, que la douance me donne TOUTES les réponses aux questions que je me posais à l'époque. C'est tentant, au début, de chercher à expliquer tout ce qui nous arrive par un seul phénomène. Pourtant, nous sommes bien plus riche, nos personnalités sont bien plus belles que le contour de ces deux petites lettres : HP.
Surtout, nous sommes tous différents. Vous ne retrouverez pas tous les HP du monde dans un seul métier.
Globalement, parce que savoir que vous êtes surdoués ou zèbre, c'est apprendre à mieux vous connaître. C'est commencer à comprendre :
En ayant accompagné plus de 100 personnes ces dernières années, je pourrais vous confirmer qu'il n'y a pas de métier de prédilection quand on est HP.
Décevant ? Non ! J'irai même jusqu'à dire que c'est une bonne nouvelle.
Nous sommes bien plus que des personnes dont le QI est supérieur à 130.
Vos valeurs, vos besoins, vos aspirations, votre personnalité, votre histoire sont uniques.
Vous êtes une combinaison unique de talents.
J'ai vu des personnes qui sont heureuses en travaillant comme :
Cependant, je peux également vous citer un passage du livre "Adultes sensibles et doués, Trouver sa place et s'épanouir" de Arielle Adda et Thierry Brunel. Au chapitre 12 du livre, les auteurs citent les 10 catégories de carrières et métiers adaptés aux profils doués de Jan Goldberg.
Ensuite, Thierry Brunel complète, cette première liste par les domaines suivants :
a. les publicitaires, créatifs en publicité et stratèges
b. les avocats;
c. les noatires;
d. les experts financiers, prévisionnistes, analystes, gérants, et allocataires d'actifs;
e. les réassureurs et actuaires ;
f. les journalistes;
g. les producteurs;
h. les psychologues et professions paramédicatles, les vétérinaires;
i. les consultants en stratégie, en implémentation opérationnelle, en marketing;
j. les chasseurs de têtes et cabinet de recrutement;
k. les cabinets de conseil en relations publiques, image et communication;
l. les professions du spectacle;
m. les directeurs et responsables associatifs, directeurs et chefs de projets;
n. les directeurs de la stratégie et stratèges;
o. les directeurs financiers et trésoriers;
p. et toutes autres professions libérales.
A mon avis, le problème avec cette liste c'est qu'elle ne vient pas parler de la façon dont on a envie de contribuer au monde.
Comme j'aime à le dire : un métier n'a pas intrinsèquement du sens. Il a le sens qu'on lui donne. C'est pourquoi, il est si important de s'autoriser à vivre nos valeurs propres, utiliser nos compétences uniques. Car c'est ainsi qu'on trouve SON métier.
Ou plutôt, devrais-je dire SES métiers ?
Il y a, peut-être, plusieurs métiers qui correspondent à votre façon de voir la vie, à votre envie de contribuer au monde.
Pour finir, la question pour moi la plus importante, au delà de quel métier, c'est : quelle trace ai-je envie de laisser ? Qu'est-ce qui est important pour moi de réaliser sur Terre ?
C'est encore flou pour vous ? Peut-être que vous n'osez pas croire en vous pour changer de métier ?
Je vous avoue qu'avant de devenir coach, ce métier était venu croiser ma route plusieurs fois. J'ai même pensé à devenir coach, pendant 3 ans avant de passer le pas. Mais je n'avais pas encore confiance en moi. Et c'est ce que j'ai découvert en accompagnant des dizaines de clients comme moi qui se posaient des questions sur leur parcours : le plus important c'est de croire en soi pour oser s'épanouir.
Et si on en discutait ?
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